Libido critique – 2019 and our fifties

Tout à fait intéressant de voir exactement quoi se met en branle avec la notion du retour d’ELB à Paris, et comme l’espoir – mais c’est en fausse temporalité, pleine d’ironies – de retrouver une synergie qui faisait une foi autant qu’une réalité des productions.

Avec elle, le cœur des questions – toujours grâce à l’infini soulagement de ne pas avoir à expliquer, simplement pouvoir avancer, frayer, essayer, donner forme et prendre prise. Quelles questions de forment donc, avec cette imminence ?

Un ton un peu Minima moralia, et c’était déjà le cas avant les départs lointains. Les zones, à discerner : états de la critique, politiques fines du savoir, enjeux du géopolitique. Situations des langues et du langage dans les idéologies européenne, mondialisée, global-academic. Foi et collapse dans la culture. Positionnement de la littérature. All the old squeezy loves, squeezed with another turn of the screw. Le pouvoir, simplement, et le que-faire devant les stratégies toujours à diagnostiquer du pouvoir tel qu’il nous atteint, nous, les étudiants, l’université, les subalternes divers. Le pouvoir tel qu’il écrase ou manipule la puissance culturelle ; et en revers la puissance socialisante, politisante, du culturel. Culturalité du politique, toujours le bord. Culturalité du pouvoir.

Le programme garde ses horizons. La qualité de l’humeur, la libido critique, ont changé de ton : c’et aussi un objet. Peut-être l’objet. Faut-il regarder les pessimismes culturels ? Histoire de leurs discours ? Ou au contraire les … ou autres variations encore. Il ne s’agit pas de pessimisme, pas de ma part en tout cas. Ce serait bien se prendre pour un grand quelqu’un que de projeter sur l’âge une humeur vécue.

Still, astringent to think about it.