Studies in propaganda, US – and now post-truth
Strikes me as I come to the last paras of « Studies in Radio and Film Propaganda » by Merton and Lazarsfeld (exact date to be checked but during the war is likely) :
. that this new field – constitutive for the concurrently institutionalizing social science – of propaganda, public opinion, media, mass observation studies was a solid arsenal built in the context. Quite an armed infantry. So what now in homothétie : pourquoi si démunis, la presse critique et les critiques politiques et peut-être les prises théoriques (je ne suis pas entrée dans ce monde de discours, il est forcément fourmillant et à forcément articulé des vues et des concepts éclairants), devant la post-truth d’abord d’un Bush puis de Trump, alt-reality, fake news, etc. (En critique politique, il s’agit souvent de rhétorique, par exemple. Même si la dimension numérique – des usages discursivo-sociaux numériques that is – est aussi explicitement reconnue et engagés – mais elle-même demande un tel travail d’analyse et de reconnaissance : quel objet ??)
. possibly the view should (also?) be reversed : downgrade a bit of the importance associated with the military-grade development of US social science of the time, disciplinary emergence and authoritative constitution – possibly the view of an idealistic intellectual history, qui aurait a en rabattre sur la mesure effective de cette importance dans son contexte. Vue parallaxe, mauvaise évaluation de l’importance, dans un désir pour la part des idées dans la détermination de l’histoire. Mesure. Cogitate this. How, now?
Il faut donc aussi sociologiser les sociologies – bien naturellement – et leur histoire intellectuelle. Ce qu’elles disent de.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Claire Joubert (11 septembre 2020). Studies in propaganda, US – and now post-truth. Ce que fait un angliciste. Consulté le 25 avril 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/n9s8